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Accueil > Pages découverte > Expositions du Musée de la musique > The Velvet Underground New-York Extravaganza

Page découverte

Expositions temporaires du musée de la musique

The Velvet Underground, New York extravaganza

Exposition du 30 mars 2016 au 21 août 2016 - Musée de la musique, Paris

Introduction

Affiche exposition The Velvet Underground, New-York Extravaganza 2016 © Cité de la musique - Philharmonie de Paris

 

Des années 1960 à aujourd’hui, la trajectoire du Velvet Underground est unique dans l’histoire de la culture populaire. Trop novateur, trop transgressif, trop frondeur pour l’Amérique de son époque, le groupe boudé par le succès au cours de sa brève existence (1965-1970) est devenu une inépuisable source d’inspiration pour les mouvements des décennies suivantes, de Bowie et l’explosion punk à nos jours.

À l’origine, la rencontre improbable de Lou Reed et John Cale, faux frères surdoués, dans le New York interlope du début des sixties, où l’élite des artistes décide que tout est permis. Autour du poète rocker et du musicien expérimental s’agrège une équipe de francs-tireurs : Sterling Morrison, étudiant en littérature et guitariste, Moe Tucker, banlieusarde androgyne éprise de rythmes tribaux, Nico, l’iceberg blond dont Andy Warhol va faire la chanteuse du Velvet. Une aventure forte en excès et en paradoxes, sombre et lumineuse.

De la rue aux hautes sphères de la société new-yorkaise, de l’univers de la musique pop à ceux de l’art d’avant-garde, de la littérature, du multimédia et du cinéma underground, l’exposition retrace l’épopée du groupe qui a permis au rock le passage à l’âge adulte.

Parcours de l’exposition

Welcome to America : culture et contre-culture▼

Vue de l’expositionThe Velvet Underground - 2016 © William Beaucardet - Philharmonie de Paris
© William Beaucardet

Après la Seconde Guerre mondiale, la lessiveuse consumériste de l’Amérique redémarre de plus belle : un standard de vie obéissant et familial, sage comme l’image diffusée par des médias en pleine expansion. Refusant ce sourire forcé, intellectuels et artistes sulfureux bouillonnent. Ils s’attaquent aux rigidités d’une société soi-disant libérale mais pour laquelle toute déviance représente un danger.

D’abord cantonnés aux marges, ces inclassables utilisent, inventent et croisent toutes formes de création. Ils défendent des modes de vies radicalement différents, prennent des voies de traverse, refusant règles et tabous. A l’image de l’infatigable porte-parole des poètes de la Beat Generation, Allen Ginsberg.

L’enfance de l’art : la jeunesse de Lou Reed & de John Cale▼

Vue de l’expositionThe Velvet Underground - 2016 © William Beaucardet - Philharmonie de Paris
© William Beaucardet

Difficile d’imaginer deux personnalités et trajectoires aussi dissemblables que celles des fondateurs du Velvet Underground. Avant de se rencontrer, John Cale et Lou Reed ne partagent rien ou presque. Le premier, né le 9 mars 1942, est issu de la classe populaire protestante du Pays de Galles. Encouragé par sa mère, il suit un apprentissage musical académique qui aurait pu le conduire à mener un orchestre à la baguette. Le second, né une semaine plus tôt, le 2 mars 1942 à Brooklyn, vient de la petite bourgeoisie juive new-yorkaise. Lou Reed sort très vite des rails, révélant un tempérament fragile, inadapté à l’étroitesse d’esprit de la banlieue de Freeport où il grandit.

Seuls points communs : la fascination pour le rock’n’roll naissant et un attrait poussé pour les expériences extrêmes.

New-York spirit, les racines du Velvet Underground▼

Woody Guthrie

Vue de l’expositionThe Velvet Underground - 2016 © William Beaucardet - Philharmonie de Paris
© William Beaucardet

Vue du cœur des États-Unis, New York a toujours été une grande Babylone, tête de pont d’un cosmopolitisme incompatible avec les valeurs de l’Amérique profonde. Au début des années 1960, dans cette ville minée par la crise économique et sociale, aucun quartier ne suscite aussi spontanément le soupçon que Greenwich Village, au sud de Manhattan – un repère d’étudiants désœuvrés, d’artistes impies et d’intellectuels aux idées pernicieuses.

La répulsion va de pair avec la fascination : enfer décadent aux yeux de la majorité, le Village est pour d’autres une terre promise, un formidable incubateur de talents. Ici convergent musiciens expérimentaux et cinéastes underground, poètes briseurs de tabous et jeunes gens bravant les normes sociales et sexuelles.

Dans ce contexte unique, avant de donner naissance au Velvet Underground, Lou Reed et John Cale se frottent aux vers des poètes beat, aux audaces harmoniques de La Monte Young ou aux expérimentations du cinéma underground. Au confluent de la pop culture et de l’avant-garde, de l’art conceptuel et des rythmes tribaux, des pitreries juvéniles et des théories les plus sophistiquées…

Naissance du Velvet▼

Vue de l’expositionThe Velvet Underground - 2016 © William Beaucardet - Philharmonie de Paris
© William Beaucardet

John Cale est engagé par le label Pickwick Records, qui produit des compilations de rock à bas prix, pour promouvoir la chanson « The Ostrich » écrite par Lou Reed. Le groupe prend forme peu à peu, entre les rues de Harlem où Lou et John aiment s’aventurer, et leur appartement du Lower East Side, rejoints par Sterling Morrison à la guitare et Angus MacLise aux percussions pour d’interminables sessions de répétitions.

Factory years▼

Vue de l’expositionThe Velvet Underground - 2016 © William Beaucardet - Philharmonie de Paris
© William Beaucardet

Le Velvet Underground n’a pas attendu Andy Warhol pour se forger un son, un univers et une identité en rupture radicale avec les canons du rock’n’roll de l’époque. Sa poésie aborde de front sexe, drogues ou questions existentielles sur une musique à la fois schizophrène et fluide, sombre et lumineuse, dont les paradoxes et extravagances obligent l’auditeur et le spectateur à s’impliquer et à prendre parti.

Fasciné par cette image singulière, le prince naissant du pop art accueille le groupe dans son loft-atelier, la Factory. Cette pépinière de talents et d’extravagance, accélérateur de particules pas très élémentaires, propulse le Velvet sous le feu des projecteurs.

Réinventions du Velvet▼

Après l’éviction de Nico, de Warhol puis de John Cale, le groupe qu’on aurait pu donner pour mort change de visage. Désormais seul maître à bord, Lou Reed trouve dans l’introspection une inépuisable source d’inspiration. Il enrobe d’harmonies lumineuses ses couplets tourmentés. Il se dédouble en recrutant Doug Yule, multi-instrumentiste capable de reproduire ses phrasés.

Calmé, le Velvet Underground sillonne l’Amérique mais boude New York, où il ne se produira plus entre le printemps 1967 et l’été 1970. Dans les clubs de Boston, de Chicago, de Philadelphie ou de la côte ouest, son alliage de souplesse, de sensualité et de malice fait merveille. En témoigne l’album live posthume paru en 1974, 1969 Velvet Underground Live, qui verra les musiques souterraines prendre leur envol vers la notoriété.

Echos et héritages▼

Vue de l’expositionThe Velvet Underground - 2016 © William Beaucardet - Philharmonie de Paris
© William Beaucardet

En août 1970, avec le départ de Lou Reed, c’est la fin du Velvet Underground dans l’indifférence générale.

Deux ans plus tard, le nom du groupe est sur toutes les lèvres : revendiquée par l’homme de l’année, David Bowie, son influence ne va cesser de croître. Au fil des disques pirates, des parutions de titres inédits et d’un mea culpa de la presse qui porte le Velvet et ses créateurs aux nues, l’esprit et les déclinaisons du rock new-yorkais conquièrent discrètement la planète, comme une revanche posthume. Loin de se limiter à la sphère musicale, les ondes Velvet contaminent les arts plastiques, la photo, le cinéma ou la mode : l’ensemble de la pop culture et le rock continuent de s’en inspirer ou de s’en amuser.

Les musiciens et Andy▼

Lou Reed

Dans l’ennui de la lointaine banlieue new-yorkaise qu’est Long Island, le jeune Lou Reed a tout d’une énigme. Lycéen fou de rock’n’roll et étudiant en littérature féru de transgressions, provocateur né et frère attentionné, outsider et asocial perturbé : dépassés, ses parents consultent un psychiatre qui prescrit un traitement par électrochocs alors qu’il a 17 ans. Pour y survivre, Lou Reed n’a que ses passions, l’écrit et la musique, du folk au jazz et du rockabilly au doo-wop. En 1958, son groupe de lycée, les Jades, a déjà publié un 45t de ses premières chansons. En 1964, après de nombreux groupes éphémères à l’université de Syracuse, un label de seconde zone nommé Pickwick décèle en lui l’étoffe d’un songwriter. Pour promouvoir sur scène l’une de ses compositions pastiche, The Ostrich, Pickwick recrute deux musiciens, Tony Conrad et John Cale. La rencontre de Lou Reed avec ce dernier va changer le cours de leur vie et le visage du rock.

John cale

Quand, en décembre 1964, il scelle avec Lou Reed une alliance destinée à durer quatre ans, ce gallois fils de mineur a déjà traversé l’océan Atlantique et plusieurs univers musicaux : prodige repéré à 11 ans par la BBC, membre de l’Orchestre national des jeunes du Pays de Galles, étudiant au Goldsmiths College de Londres ou boursier à la prestigieuse Tanglewood Summer School, dans le Massachussets. Pianiste et joueur d’alto, il se détourne d’une carrière de chef d’orchestre en croisant les compositeurs d’avant-garde et les théories du mouvement Fluxus. Dès son arrivée à New York en 1963, il découvre avec La Monte Young les vertus de la répétition et du hasard, les sonorités bourdonnantes, la vie de bohême et le deal de drogue. Doté d’un bagage musical hors du commun, d’un sens aigu de la transgression et d’une fascination pour les étrangetés de Lou Reed, John Cale constitue avec lui le noyau fondateur du Velvet et sera le seul à oser lui faire de l’ombre.

Sterling Morrison

En avril 1965 dans le métro, Sterling Morrison rencontre Lou Reed, dont il a fait la connaissance trois ans plus tôt, à l’université de Syracuse, tous deux étudiants en lettres et fous de musique.

Guitariste, bassiste et chanteur, il rejoint immédiatement le groupe que Reed a fondé avec John Cale et Angus MacLise. S’il n’a pas encore de nom, le Velvet Underground a déjà des chansons, auxquelles Sterling apporte une impeccable assise rythmique. Admirateur de Mickey Baker et Steve Cropper, il développe un jeu aussi mordant qu’aérien, esquisse des mélodies, et s’empare de la basse quand John opte pour les claviers ou le violon. C’est à la présence de ce spécialiste de littérature médiévale que le Velvet Underground doit certaines de ses plus lumineuses envolées.

Moe Tucker

En novembre 1965, le percussionniste Angus MacLise fait faux bond au Velvet Underground à la veille de leur premier vrai concert. Sterling Morrison se souvient alors que la sœur de son ami d’enfance Jim Tucker joue de la batterie et possède une voiture : bien pratique. Au groupe, Maureen « Moe » Tucker, née à New York en 1944, apporte le beat tribal de Bo Diddley, une frimousse de petit garçon et une candeur flegmatique capable de survivre aux turpitudes de la Factory comme aux sautes d’humeur de Lou, John et Sterling. Elément stabilisateur sur le plan humain et moteur sur le plan musical, Moe est également une délicieuse chanteuse, dont le timbre enfantin va aérer ballade agoraphobe (After Hours) et comptine morbide (I’m Sticking With You). Aux yeux de certains puristes, l’absence de Moe empêchera Loaded d’être un véritable album du Velvet Underground.

Nico

Lorsque Nico devient la chanteuse du Velvet Underground en janvier 1966, sa vie est déjà un roman. Née Christa Päffgen en 1938 à Cologne, elle entame à l’adolescence une carrière de mannequin. Suit une vie d’itinérance, de Berlin à Rome puis Paris, de Londres à New York, des podiums aux couvertures des plus prestigieux magazines, du cinéma aux studios d’enregistrement.

Sa blondeur illumine La Dolce Vita de Fellini (1960), Alain Delon lui donne un fils, Bob Dylan une chanson, Brian Jones l’occasion d’enregistrer son premier titre, I’m Not Sayin’ (1965). À peine arrivée à la Factory, son chant suave et son allure distante séduisent Andy Warhol et son acolyte Paul Morrissey, qui trouve que Lou Reed manque de glamour. Le Velvet Underground hérite alors pour quelques mois d’une figure de proue à casque d’or.

Andy Warhol

Fin 1965, Andy Warhol est loin d’être le personnage et l’artiste qu’il va devenir les deux décennies suivantes. À vingt-sept ans, il fait déjà sensation avec ses sérigraphies de fleurs ou de personnalités, ses boîtes Brillo, ses séries sur les morts et les catastrophes, son système de duplication et de répétition. Warhol cherche à brouiller la distinction entre l’artiste et l’œuvre d’art, et déclare vouloir abandonner les arts plastiques pour s’attaquer à de nouveaux domaines, au premier rang desquels le cinéma et la musique : la Factory est le lieu idéal, où films et répétitions s’enchaînent, entre fêtes et expositions improvisées qui voient défiler tout ce que New York recèle d’artistes ou de célébrités. Sous cette apparence de foire perpétuelle s’élève une fourmilière de talents dont Warhol compte faire des composantes de son œuvre d’« art total ».

Crédits de l’exposition

  • Commissaires : Christian Fevret, Carole Mirabello ; SundayMorningProd / Un Monde Meilleur
  • Graphiste : Nicolas Rouvière
  • Scénographie : Matali Crasset
  • Conception lumière : ACL conception lumières
  • Conception et production des films de l’exposition : Carole Mirabello, Christian Fevret, Un Monde Meilleur ; Assistés de Margo Zimmermann, Hugo Lebaillif
  • Introduction
  • Parcours de l’exposition ▼

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Mini-site The Velvet Undergound © Philharmonie de Paris

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The Velvet Underground

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Sélection de la médiathèque

La médiathèque propose une sélection de ressources autour des principaux thèmes abordés tout au long du parcours de l'exposition The Velvet Underground - New York Extravaganza.

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catalogue exposition The Velvet Undergorund, édition La Découverte © Philharmonie de Paris

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catalogue de l’exposition The Velvet Undergorund - New York Extravaganza

À partir de documents d’archives, inédits pour la plupart, ce livre restitue l’expérience sonore, visuelle, émotionnelle de la scène underground new-yorkaise, là où toutes les extravagances étaient permises.

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